Qui suis-je ?

Quiterie Bertrou

Dès le début de cette vie, je me suis interrogée sur le sens des choses. Je me suis souvent sentie déroutée face au monde tel qu’il est manifesté. Je ne trouvais pas cela cohérent et ne me sentais pas à ma place sur cette Terre. Enfant, à Noël, je demandais un tapis volant, une machine à remonter le temps ou une lampe à exaucer les souhaits. Je croyais profondément en une magie qui me paraissait évidente.

J’ai vécu la boulimie et diverses addictions socialement admises. Alcool, cigarette, perfectionnisme, dépendance affective et quête frénétique de reconnaissance à travers un travail acharné. Je ne vais pas décrire ici les symptômes de ce qu’on appelle communément « addiction », mais plutôt mes ressentis face à cette perte de contrôle, cette honte, cette culpabilité et ce sentiment d’être incapable, avec la conviction qu’on ne peut pas s’en sortir.

Je me suis sentie tant de fois incomprise en exposant ma situation aux théoriciens des addictions ou de la psychologie qui n’avaient pas côtoyé ces symptômes. Cette phrase me glaçait : « Il faudra faire avec. Mais à force vous arriverez à vous contrôler ».

Je ne retenais pas grand-chose de mes entretiens avec les thérapeutes, si ce n’est l’impression d’un fossé, pour ne pas dire d’un gouffre qui se creusait. J’ai donc commencé à me former à une multitude d’approches (EFT, hypnose, PNL, bioénergie, acupression et j’en passe). Chacune de ces expériences me rapprochais de moi mais mon regard restait tourné vers l’extérieur (l’outil, le thérapeute, la méthode). Je me comparais sans cesse à mieux et à pire.

J’ai passé des années à fréquenter le mal-être et l’angoisse, à penser que les choses s’arrangeraient lorsque j’aurais atteint un objectif, validé une formation ou terminé une thérapie.

Après l’obtention d’un bac avec mention, j’ai imaginé me sentir mieux en devenant pharmacienne. Mon diplôme en poche et mon mal-être persistant, j’ai poursuivi ma quête de reconnaissance en intégrant une grande école de commerce (l’ESSEC Business School).

J’ai gardé ce cap scolaire tel un matelot en pleine tempête pensant que, destination atteinte, je pourrai enfin devenir quelqu’un. J’ai cru que mes angoisses s’apaiseraient et que ma vie ne serait que joie. Je cherchais désespérément une méthode qui me permettrait de poursuivre la voie à laquelle je m’étais subordonnée, mais en me débarrassant des symptômes. 

Il n’en fût rien et j’ai dû traverser nombre de tsunamis. La vie me ramenait sans cesse à des situations similaires dans lesquelles je rejouais les mêmes rôles sans en avoir conscience. « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » a démontré Lavoisier. On ne peut échapper à ce que nous n’avons appris à aimer car l’Amour est l’essence de la vie. Ce n’est que bien plus tard que je l’ai intégré. Bien loin de sa version Hollywoodienne, il est la somme de polarités opposées et complémentaires.

J’ai de la gratitude aujourd’hui pour toutes les expériences qui m’ont permis de sortir de ce coma.
C’est ce rEVEIL que je souhaite vous aider à vivre. Chaque individu à la capacité de transmuter ses blessures et croyances pour être en harmonie avec soi, en paix avec l’extérieur, et matérialiser la vie de ses rêves.

Addiction est composé « d’addict », qui signifie assujetti, et d’un « ion » chargé positivement ou négativement. Chaque fois que nous jugeons ou admirons, nous chargeons une expérience positivement ou négativement. Nous nous fragmentons et polarisons ainsi intérieurement. Nous créons deux masques/personnalités, ce que nous jugeons positif ou négatif et leur caractéristique opposée. Ces charges vont fortement influencer notre vie. Nous allons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour fuir ce que nous jugeons négatif ou devenir ce que nous jugeons positif, et il ne nous reste plus d’énergie pour être à l’écoute de notre âme.

Cette quête de joie m’a amené doucement sur le chemin du Bonheur.

Un soir d’hiver, une petite voix douce et gentille au fond de moi m’a appelé à partir en Mongolie. J’ai eu la chance de faire cette merveilleuse expérience initiatique auprès d’une famille nomade pendant plusieurs mois. Le courage d’écouter le divin en moi m’a permis d’entamer le chemin du retour à ma nature profonde.

Je le parcours encore, aujourd’hui et pour le reste de mes vies. Plus je suis au diapason de mes valeurs intrinsèques, moins les symptômes se manifestent. Le bonheur passe, selon moi, par l’appréciation consciente du juste équilibre des polarités de la vie. Tout ce que nous réprimons (l’anti-valeur), nous finirons par l’exprimer par compulsion. Tout ce que nous cherchons à éviter, nous le rencontrerons. Car on ne peut échapper à ce que nous n’avons pas appris à aimer. Tout ce que nous jugeons (l’anti-valeur) nous finirons par le créer, l’attirer, le devenir. Nos symptômes ne sont qu’un rappel à une réorganisation intérieure.

J’accompagne depuis plusieurs années des centaines d’addicts

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